San Kibaru « 2024 »: Prévisions alarmantes de l’astrologue Moussa Fomba
L’année 2024 s’annonce sous le signe d’une énergie féminine intense, mais malheureusement, selon les prédictions de l’astrologue Moussa Fomba, elle sera également marquée par une série d’événements tragiques, notamment des accidents de la route, des décès d’enfants, et des fausses couches chez les femmes.
Ces sombres présages ont été révélés lors de la présentation de l’ouvrage « San Kibaru 2024 » le 23 décembre 2023, au siège du journal Le Challenger, où Moussa Fomba partageait ses visions pour l’année à venir.
Le document de 19 pages offre un aperçu des prédictions pour l’année 2024 au Mali et au-delà, émanant du consultant en sciences occultes, géomancien, et professeur en astrologie, Moussa Fomba. Selon ses prédictions, l’univers est régi par quatre éléments fondamentaux : le feu, l’air, la terre, et l’eau, qui influencent les compatibilités et incompatibilités dans les relations amicales, matrimoniales, et professionnelles.
Moussa Fomba souligne l’importance de prendre l’année 2024 au sérieux, la qualifiant d’année d’accomplissement matériel tout en mettant en garde contre des risques élevés d’accidents de circulation, surtout pour ceux dont le chemin de vie ou les vibrations annuelles sont liés au chiffre 5 ou 8.
Le géomancien encourage également la vigilance dans les études et les recherches, tout en appelant à éviter le laisser-aller susceptible de plonger le pays dans le chaos. Il prédit que les élections en 2024 pourraient être compromises, et met en garde contre des tensions sociales en mars et avril susceptibles de dégénérer et de causer d’importants problèmes nationaux.
Pour se prémunir contre ces dangers, Moussa Fomba recommande aux Maliens d’effectuer des sacrifices de plantes telles que Aladio, Koundje, Niama Dioulassokalani, Zaban, et de se laver sept fois par jour.
À noter que depuis 2010, les prédictions de Moussa Fomba, rassemblées sous le nom de « San Kibaru, » ont anticipé des événements majeurs tels que la première attaque au sud du pays, l’arrivée de la maladie à coronavirus, la grippe aviaire, et même le départ prématuré du président IBK avant la fin de son mandat.
Source : Mali24